Le roman oublié
Après sa blessure reçue à la fin de son enquête sedanaise (voir Trier les morts), Théo Payardelle passe quelques semaines de convalescence chez Diane, sa nouvelle compagne, galeriste à Aix-en-Provence. Cette dernière appartient à la haute bourgeoisie aixoise qu’elle fait découvrir à Théo.
Un soir, ils dînent chez un ami de Diane, un riche antiquaire passionné de littérature policière et surtout d’Emile Gaboriau, un romancier du XIXe siècle considéré comme le père du roman policier. Ce vieil original possède une collection complète des oeuvres de Gaboriau, à l’exception d’un roman dont la légende dit qu’on en a perdu toute trace. On sait seulement que l’écrivain a séjourné en Provence en 1866 afin de prendre des notes pour son écriture.
Par jeu, l’antiquaire met le policier au défi d’en retrouver la trace contre la promesse de lui offrir le magnifique Corot qui orne un mur de son salon.
Dans le même temps, un journaliste varois qui se préparait à publier des révélations sur une affaire de pots-de-vin est assassiné. Peu de temps après, l’antiquaire va subir le même sort.
Payardelle est chargé de superviser les enquêtes sur ces deux meurtres qui présentent des similitudes troublantes. Il va très vite comprendre que la venue de Gaboriau en Provence un siècle et demi plus tôt n’est peut-être pas étrangère à ces deux affaires.
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ISBN : 9782370472137